15 novembre 2009
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A l'est de Tours, le château de Montpoupon devient un château Renaissance à la fin du XVe siècle. Les communs du château, ancien coeur de l'activité équestre et cynégétique de Montpoupon, abritent un musée sur le Cheval et la chasse.
Le château de Chaumont-sur-Loire, situé entre Blois et Amboise, domine le fleuve lui conférant ainsi un charme particulier. Les modifications architecturales l'ont, au fil des siècles, transformé de château féodal en demeure d'agrément. Ne manquez pas le Festival international des jardins sur les terres du château.
Construit au XVe siècle puis remanié au XVIe, le château de Chémery accueille aujourd'hui des chambres d'hôtes tout en maintenant un esprit médiéval.
Le château de Talcy est un château Renaissance qui a fortement inspiré Ronsart... Son poème "Mignonne, allons voir si la rose" est inspiré de l'idylle entre Ronsard et Cassandre, fille de Berbard Salviati, propriétaire de l'édifice
A quelques kilomètres d'Azay-le-Rideau, une demeure des XVIe et XVIIIe siècles dominant la vallée de l'Indre a accueilli un homme désireux de fuir Paris, son agitation et ses créanciers : Honoré de Balzac. Aujourd'hui propriété du Conseil Général, les lieux rendent hommage à l'écrivain tourangeau.
Le château de Chaumont-sur-Loire, situé entre Blois et Amboise, domine le fleuve lui conférant ainsi un charme particulier. Les modifications architecturales l'ont, au fil des siècles, transformé de château féodal en demeure d'agrément. Ne manquez pas le Festival international des jardins sur les terres du château.
Construit au XVe siècle puis remanié au XVIe, le château de Chémery accueille aujourd'hui des chambres d'hôtes tout en maintenant un esprit médiéval.
Le château de Talcy est un château Renaissance qui a fortement inspiré Ronsart... Son poème "Mignonne, allons voir si la rose" est inspiré de l'idylle entre Ronsard et Cassandre, fille de Berbard Salviati, propriétaire de l'édifice
A quelques kilomètres d'Azay-le-Rideau, une demeure des XVIe et XVIIIe siècles dominant la vallée de l'Indre a accueilli un homme désireux de fuir Paris, son agitation et ses créanciers : Honoré de Balzac. Aujourd'hui propriété du Conseil Général, les lieux rendent hommage à l'écrivain tourangeau.
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